L’égalité entre les femmes et les hommes est toujours brandie comme une priorité du gouvernement. Or, loin de reculer le sexisme progresse dans la société française selon le dernier rapport du Haut Conseil à l’Egalité. La journée internationale de lutte pour les droits des femmes revêt dans ce contexte une importance déterminante!
Découvrez-en quelques enjeux en cliquant sur le lien suivant : view.genial.ly/65d1d41639239a00143a148d/interactive-content-8-mars-snes-fsu-2024.
Rappelons que la grève féministe est essentielle pour les personnels de l’Éducation nationale, dont les professions sont très largement féminisées. Or, ils n’ont bénéficié d’aucune mesure salariale permettant de pallier les inégalités salariales pourtant persistantes, et de réparer cette injustice sociale.
Parce que l’École porte des valeurs fortes d’égalité et que les femmes y sont majoritaires (71%), elles devraient être protégées des discriminations liées au genre, mais il n’en est rien. Les enseignantes gagnent en moyenne 200 euros par mois de moins que les enseignants ; les AESH subissent des temps incomplets imposés et la lutte contre la précarité n’est pas à l’ordre du jour du ministère.
Parce que sans nous le monde s’arrête! Mobilisons-nous le 8 mars 2024!
Rendez—vous à partir de 11h sur la place Ducale pour une exposition, distribution de tracts et un lâcher de ballons